mardi 29 novembre 2011

Tu parles de qui ? Le BGDFDC ou Pantalon rouge ?

De l’importance du nom ou du surnom :



- Celui que nos parents nous donnent à notre naissance – ça c’est easy, à notre âge on commence à assumer !



- Celui que l’on se donne à nous même sur nos blogs ou Tweeter pour faire les belles gosses – ça c’est le début de la liberté !



- Celui que l’on nous donne dans notre dos (nos troupes, nos clients, nos amis… si on savait !!!) – ça c’est plus angoissant mais halte à la parano car ça peut être « la belle gosse de la Rue Charles de Gaulle » !



- Celui que les mecs nous donnent quand on n’est pas là :


o « le koala » par exemple, quand ils croient qu’on est à fond sur eux à s’accrocher alors qu’ils n’ont rien vu de ce qu’on peut faire quand on est vraiment à fond ;
o ou « belle blonde » même quand on est brune – va comprendre ;
o ou « poupée » pour ceux qui aiment les petites filles plutôt que les femmes – no comment ;
o ou « ma douce » surtout quand c’est sur "sourceintarissabledemales.com" et quand on ne s’est jamais vus.



- Celui que l’on donne à nos targets soit quand on parle d’eux soit dans notre répertoire de téléphone portable – ça c’est le plus croustillant !

C’est la partie de la drague que je préfère je crois.

Il vaut mieux utiliser des surnoms faciles à retenir qui, en plus, égaieront vos conversations et reflèteront mieux la subtilité de la réalité. Ça permet aussi de contourner le problème des Guillaume/Antoine/Benjamin/Nicolas qui sont trop nombreux (et dont on ne connaît pas forcément le nom de famille ! Un nom de famille du type « Nicolas Macumba » ou « Alexis Bus Palladium » risque d’être considéré comme non valide par votre Iphone).

En plus, ça permet de multi-targetter puisque si vous appelez le mec que vous convoitez « ma target » ou « le mec que je convoite » ou « ma cible » ou « le beau gosse », vous risquez de perdre vos cops lorsque vous élaborerez vos plans de drague ! voire de vous emmêler vous-mêmes les pinceaux et de rencarder le mauvais.

Je lance donc ici le concours officiel de surnom de target et propose des premiers surnoms AVERES :

« Jean, le nain misogyne » (dit JLN) à il n’a pas trainé longtemps dans la liste des targets !
« Paul, tronche de cake »
« Paul, pantalon rouge » (euh, oui, c’était le même)
« Patrick, le charmant » (dit PLC) à il a fini par sortir de la liste des targets… ;-)
« Le mqstb ». Il faut comprendre : « le mec qui sent trop bon » ou, une fois le filon épuisé, « le mec qui sentait trop bon ». L L’avantage, c’est que j’ai eu le temps de dégotter la marque de son parfum sur les conseils de Mollets d’acier.
« Le bgdfdc » : pas facile du tout à retenir car c’est une longue périphrase qui occulte rapidement le prénom de la target en question « le beau gosse du fond du couloir » (oui, c’était au bureau).
« Fred de Londres » à ne pas confondre avec « Fred, le fougueux » ! rien à voir !!! et il ne faudrait pas marcher sur les plates-bandes des copines !

Le hic, avec tout ça, c’est le risque d’oublier le vrai prénom de votre target lorsque vous serez en face de lui ou encore lorsque vous élaborerez votre liste ! (http://desvertesetdespasdures.blogspot.com/2011/09/ca-compte-ou-pas.html )

3 commentaires:

  1. Basique, mais efficace utiliser la profession : le commercial, le journaliste, le séminariste (no comment !) ...
    Sinon il y a aussi le héros de fiction. J'ai daté le mousquetaire comme ca. Au final, son épée était nettement moins affutée que celle de D'Artagnan !

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  2. Le surnom c'est un signe aussi : quand il disparaît pour laisser la place à un prénom ca indique que c'est en train de devenir sérieux !

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  3. Personnellement lorsque je vivais dans des pays lointains, j'aimais bien mettre la nationalité + le numéro d'ordre d'embrassage. Cela donnait l'australien n°3 par exemple. Je m'y retrouvais très bien mais les autres beaucoup moins.

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